Suite de ma publication précédente sur le LUM, Lugar de la Memoria.
Comme je l’évoquais, une des expositions de ce lieu présente un extrait d’un poème de María Elena Moyano, militante afro-péruvienne qui s’est opposée au Sentier Lumineux et l’a payé de sa vie.
Je partage avec vous ce poème et une proposition de traduction en français par votre serviteuse.
Elle a écrit ce poème dans son carnet de notes entre janvier et février 1992, et elle a été sauvagement assassinée par le Sentier Lumineux le 15 février 1992. Ce texte étreint d’autant plus dans ce contexte.
[…] de Victoria Santa Cruz et cette dernière apparaît dans l’exposition, pas très loin de María Elena Moyano.J’ai eu en outre la chance de bénéficier d’une visite guidée dans ce magnifique […]