Autoportrait à l’Anthologie littéraire décadente
« She’s alive! Alive. » Ce lundi 10 décembre, a paru l’Anthologie littéraire décadente des Editions de l’Abat-Jour, dirigée par Marianne Desroziers, au sommaire de laquelle figure la nouvelle Xélucha de l’auteur britannique M. P. Shiel, que je suis très heureuse et très fière d’avoir traduite. Après vous avoir présenté le texte et l’auteur, après vous avoir parlé de mon travail de traduction, je reviens à présent sur les différents acteurs de ce joli projet.
Tout d’abord, les Editions de l’Abat-Jour qui se présentent ainsi (cliquer pour agrandir) :
« Fondées à Bordeaux en octobre 2010 par Franck Joannic, les éditions de l’Abat-Jour ont fait de l’anticonformisme leur marque de fabrique.
En publiant aux formats papier et numérique des textes audacieux par leur style et les thèmes abordés, nous cherchons à mettre en avant une littérature exigeante, en dehors des sentiers battus, sans être pour autant empesée par l’esprit de sérieux.
Nous publions également la revue littéraire et graphique L’Ampoule, dirigée par Marianne Desroziers. »
Puis, Marianne Desroziers, à la direction de cet ouvrage :
Née en 1978, Marianne Desroziers vit et travaille à Bordeaux. Passionnée de littérature, elle écrit nouvelles, poèmes et romans. Elle est l’auteur de Lisières (Les Penchants du Roseau, 2012), L’enfance crue (Lunatique, 2014), Ma mère en automne (Alpes Vagabondes/Gros Textes, 2017) et du recueil de nouvelles Fantasmagories (Éditions de l’Abat-Jour, 2018). Elle a également publié poèmes et nouvelles dans une trentaine de revues et anthologies littéraires depuis 2010.
Blogueuse littéraire, elle dirige la revue L’Ampoule aux éditions de l’Abat-Jour.
Lauréate 2015 de la bourse Aquitaine/Hesse et de la résidence d’écriture à la Villa Clementine à Wiesbaden attribuées par l’ECLA.
Lauréate 2016 de la bourse et de la résidence d’écriture attribuées par La 25ème Heure du Livre/D.R.A.C. Pays de la Loire/ Ville du Mans.
Ensuite, Eric Dussert, le préfacier :
Lecteur aratoire, orpailleur ou archéologue aléatoire, Eric Dussert (né en 1967) s’est consacré jusqu’à présent à la lecture et à la réédition d’œuvres négligées. A travers son activité de critique et d’éditeur, il s’est consacré aux autres, vivants ou oubliés, en s’attachant à relever les stèles d’œuvres qui, lestées de silence, étaient restées dans l’ombre, embroussaillées. Il fourbit actuellement d’autres surprises et a entrepris un essai d’histoire littéraire, ainsi qu’un roman.
Ses dernières publications :
– Cachées par la forêt, 138 femmes de lettres oubliées, éditions La Table ronde, 2018
– Les 1001 Vies des livres (Librairie Vuibert, 2014).
– Une Forêt cachée. 156 portraits d’écrivains oubliés. Préface de Claire Paulhan. La Table ronde, 2013.
Il écrit sur son blog littéraire depuis juin 2006
Et enfin Charlie Ambrose dont l’oeuvre, Double vanité, ci-dessous, illustre la couverture :
Charlie Ambrose présentant une de ses plaques
Charlie Ambrose capture le réel grâce à un procédé photographique de 1850 appelé ambrotype. La beauté troublante de ses images monochromes permet à l’imaginaire de se saisir du temps qui passe et d’en interpréter sa propre relation. Il a exposé à l’Institut Culturel Bernard Magrez à Bordeaux l’année dernière. Depuis, la revue l’Ampoule publie régulièrement ses œuvres.
Charlie Ambrose expose actuellement et jusqu’à début janvier à l’atelier/boutique de céramique, En Terre d’Atelier, de Damien Gruel (à savoir l’atelier de céramique que je fréquente depuis trois ans désormais et où j’ai créé plusieurs des pièces de mon installation réVULVotion) :
Je viens de découvrir les différente publications à propos de l’anthologie sur votre site. Merci pour cette présentation de mon travail. Je n’ai pas encore tout lu mais cela ne va pas tarder 🙂
Bonne continuation
Et à bientôt
Charlie Ambrose
Avec plaisir, Charlie, j’aime énormément votre travail. Bonne lecture et à bientôt.